Sujet: Kuroshi. Numéro °2, dit-on. Dim 2 Sep - 21:35
PRÉSENTATION ~ Kuroshi ~
On m'a appelé Kuroshi. Je n'ai pas de nom, mais j'ai un numéro. Le numéro 2... J'aurais préféré être les numéro 1, le 2, ça craint... Je n'ai pas de date de naissance. Ou du moins... je ne la connait pas, et de toute façon, je m'en fiche pas mal. Mais c'est un peu embêtant pour ce qui est de déterminer mon âge... D'après mon apparence, je dirait avoir entre dix et douze ans... Mais rien n'est moins sûr. Hum...? Quoi? Moi? Un gamin? Tu t'fiches de moi?! Je suis pas un gamin! ...hum... bref. Il parait que je rentre dans la boite civil. Mais perso, j'm'en balance un peu. Je suis pas un civil, je suis moi, point. Que dire d'autre? Mon métier? ...j'suis pas un "gamin", mais j'suis encore trop jeune pour travailler, quand même...
.: Pouvoir :.
Poison of Devildom : Le pouvoir de notre sujet est assez compliqué, je dois dire... encore que. C'est une magie à mis chemin entre les dimensions et la création. Je vous explique tout cela.
Notre jeune sujet est capable de faire apparaître des armes. Pas n'importe lesquelles. Seulement des couteaux aux lames bien aiguisées. La petite particularité de ces couteaux est ... bon, allez, d'après le nom de ce don, vous devinez, n'est-ce pas? Je vous donne un indice plus précis. "Poison". Vous avez deviné? Chacun des couteaux que ce jeune garçon peut faire apparaitre est imbibé d'un poison, différent pour chaque lame. Aucun n'est mortel, cependant. Là, vous vous dites "Wow, quel pouvoir formidable!", mais pourtant, il a pas mal d'inconvénient. Il y a un antidote commun à tout les poisons que Kuroshi est capable de créer. L'eau. Oui, le simple fait de boire de l'eau annule totalement les effets de n'importe lequel de ses poisons. Certes, personne ne pense à boire de l'eau en cas d'empoisonnement, mais c'est tout de même en gros handicape. Surtout qu'en temps de pluie, le poison, aussi puissant qu'il puisse être, est inutile. Et alors, toutes ses lames ne deviennent que de simple jouets un peu coupants.
Pour le moment, Kuroshi ne peut faire apparaitre qu'un seul de ses couteau à la fois. Mais peut-être qu'un jour viendra où il pourra en utiliser plusieurs en simultané ~
.: Caractère :. « Un être sans personnalité mentale est un robot »
Toi? t'es juste un sale gamin extraverti et impulsif. Le pire gosse que l'on pourrait croiser dans toute la ville, à mon avis. Plutôt du genre à foncer tête baissée dans les ennuis. Réfléchir, c'est pas trop ton truc, apparemment. Provocateur, aussi. Tu n'hésites pas à balancer des phrases vantardes, voir hautaines, pour attirer l'attention de ton adversaire. Tu détestes être ignoré, préférant de très loin être le centre de tous les regards. Tu es aussi un bagarreur né. Malgré ton jeune âge, tu aimes te frotter à plus fort que toi. Quitte à en ressortir avec des blessures, plus ou moins graves.
Tu es aussi un gosse directe. Tu dis ce que tu penses des autres, bien haut et fort. Quitte à être insolant, ou insultant. De la franchise, ou de la bêtise, si vous voulez. De la bêtise, ça oui, tu en as. Tu n'es pourtant pas aussi bête que tu le laisses croire. Au contraire, même. Le fait d'avoir vécu seul dans les rues de Hikari, soit disant ville de la "lumière", t'as rendu autonome. Tu as maintenant quelques astuces plutôt bien pensées pour t'en sortir. Chaparder au nez des commerçants avares, survivre. Quelque chose que tu n'aimes pas? Les types renfermés et coincés. Ce que ce genre de personne peut-être agaçant... et ennuyeux. Mais tu n'aimes pas non plus les gens qui te ressemblent trop, les gens trop sûrs d'eux et égocentriques. Ah, oui... Parce que tu es égocentrique, légèrement... On va dire que 55% minimum de tes phrases commencent par "Moi je". C'est assez embêtant. Tu penses plus à ta propre personne qu'aux autres. Un mec est en train d'agoniser, juste devant? Bof, tant pis pour lui. Tant que toi tu n'as rien, tout baigne.
Tu n'es pas bien méchant, mais pas franchement très gentil non plus. Tu es moqueur, et tu ne résistes pas à faire des commentaires sur les autres, des commentaire narquois et méchants. Tu n’iras pourtant pas jusqu’à éprouver du plaisir à tuer quelqu'un, ça, non. Tu préfères humilier ce quelqu'un en publique, qu'il se souvienne de toi toute ça vie.
Tu n'aimes pas dormir, c'est une perte de temps. Je me demande même comment tu fais pour être aussi hyperactif alors que tu dors très peu. Tu débordes d'énergie. Trop, même. Tu es... fatiguant. Comme dis tout à l'heure, tu es impulsif, et très susceptible. Tu t'énerves très... très facilement. Je ne compte même plus le nombre de fois où tu as craché sur la figure de quelqu'un qui te traitait comme un gamin. Caractère typique de quelqu'un comme toi. Ce que tu peux être prévisible...
Et tu sais quoi? Ça ne m'étonnerais pas qu'en grandissant, tu deviennes un loubard, dragueur de première, et qui arnaque de bons citoyens pour te faire un peu de blé.
.: Physique :. « Ne vous fiez pas aux apparences »
.: Histoire :. « Tout le monde possède une histoire, racontez-nous la votre »
« J’ai froid… J’ai peur… J’ai mal… Je suis fatigué… A l’aide… »
Tu te réveilles en sursaut, essoufflé et en sueur. Encore ce mauvais rêve… Tu bascules la tête en arrière, passant une main dans les longues mèches ivoire qui retombent sur tes épaules. Tu te trouves dans une cabane de fortune, faite de taules et de planches de bois. Seul un mince filet de soleil passant entre les quelques morceaux de cabane éclaire l’abri. Si peu de lumière, beaucoup trop d’ombre. Et c’est ici que tu vis. Mais l’ombre te va bien, à toi qui n’a pas droit à la douce blancheur de la lumière. On te l’a répété tant de fois… Tu es l’ombre. L’ombre d’un autre, un autre dont tu ne connais pas même le nom, et encore moins le visage. Pourtant… Tu es le meilleur, non ? Alors pourquoi vivre dans cette ombre permanente ? Si seulement tu avais la réponse…
Allez, il est tant de se lever, une nouvelle journée t’attend. Une longue et dure journée où comme d’habitude, tu devras juste survivre. Tu ne sais même pas pourquoi tu te fatigues à survivre, d’ailleurs. Ce n’est pas comme si tu maquerais à quelqu’un. Oui, c’est ce que tu te dis, de temps en temps. Mais tu as un but, un objectif. Sans lui, ta volonté de vivre serait bien moindre. Sans lui, peut-être ne serais-tu déjà plus là. Ce but… tu te souviens encore de cette journée d’automne où tu as pris la décision d’essayer de faire quelque chose de cette misérable vie qui t’avais été donnée.
Un jour où la pluie fouettait le sol d’une multitude de gouttelettes, mélangées à quelques feuilles rougies, propulsées ensemble par le vent. Un vent aussi violent que le coup du marteau sur le fer rouge. Les rues désertes faisaient siffler les rafales, telles des cors funèbres. Et malgré ce temps horrible, tu étais là, dehors. Seul. Ton corps frêle avait trouvé abris dans une ruelle étroite, sombre, où le vent, aussi violent qu’il puisse être, ne pouvait pénétrer. Et recroquevillé sur toi-même, tu réfléchissais. Tu te demandais ce que tu avais bien pu faire de mal pour te retrouver seul. Personne ne voulait de toi. Qu’il pleuve, qu’il vente, que le ciel soit bleu… peut importe, ils te haïssaient, tous. La population crédule, dans sa naïve ignorance, voyait en toi la réincarnation d’un démon. Tes cheveux blancs, tes yeux rouges et ton habituelle agressivité faisait de toi, à leurs yeux, le mal personnifié. Ils auraient tous presque plus confiance en le pire meurtrier que ce monde puisse porter qu’en toi. Tu étais seul, tu le resteras, et tu l’es encore aujourd’hui. N’ayant nul par où aller. Enfin si… il y avait bien l’église… mais hors de question d’y passer ne serait-ce qu’une seconde. Sur cette pensé fâcheuse, ton visage s’était teinté de haine. C’est à cause d’eux… C’est à cause des Divina que tu es seul. Tout est de leur faute. Tu repensas à toutes ces fois où l’on t’avait lancé des pierres, à toutes ces insultes que l’on t’avait envoyées. Tous… Tu les haïssais tous. Et tu les hais encore. Si seulement…. Si seulement ils pouvaient te reconnaitre à ta juste valeur. Tu avais envie que l’on t’écoute, que l’on écoute ton histoire. C’est en repensant à tout cela… toutes ces horreurs que tu as vécues, que tu as eu l’idée qui te donna envie de vivre, tu as trouvé un rêve. Ce rêve… S’il se réalisait, tout serait plus facile, la misère ne serait plus qu’un mauvais souvenir.
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